Notre Assemblée Générale 2024, présentant notre activité de l’année 2023, s’est tenue le Samedi 13 Avril.

Ordre du jour :

1) Election du Président de séance et du secrétaire 

La Présidente de séance sera Mme. Mousset Anique, le secrétaire de séance sera M. ESKI.

M. RASSE souhaite la bienvenue aux participants et présente le rapport d’activité.

2) Présentation du rapport moral 2023 

Le rapport moral 2023 est validé à l’unanimité.

3) Présentation du rapport financier 2023  

Le rapport financier 2023 est validé à l’unanimité.

4) Présentation du rapport d’orientation 2024

Le rapport d’orientation 2024 est validé à l’unanimité.

5) Vote de la cotisation 2024 

La cotisation pour l’année 2024 reste à 26 euros.

6) Présentation des personnes entrantes et sortantes au Conseil d’Administration

Mesdames ABDALLAH, NYOMBE et RACINE quittent le Conseil d’Administration.

Madame MAHOUKOU KINTA entre au Conseil d’Administration.

La candidature est validée.

7) Questions diverses

L’idée d’une adhésion « solidaire » a été discutée avec les dirigeants, bénévoles et adhérents présents à l’Assemblée, elle serait proposée au moment du renouvellement de l’adhésion pour les personnes qui souhaitent rester adhérentes sans nouveau dossier. La proposition sera soumise à une validation lors du prochain Conseil d’Administration de la CSF 41.

8) Elections du Bureau

L’élection du Bureau aura lieu lors du prochain Conseil d’Administration prévu le 19 avril 2024.

Clôture de l’Assemblée Générale.

 

Vous trouverez ci-joint le Rapport d’Activité présenté lors de cette Assemblée Générale : CSF 41 – AG 2024 – Rapport Activités

Bonjour à tous,

Dans le cadre de la réalisation du dossier sur le coût de la scolarité
2024, nous souhaitons recenser les dépenses liées à la scolarité tout au
long de l’année.

À partir des résultats, La CSF pourra porter des revendications et des
propositions nationales comme la gratuité des transports scolaires, la
revalorisation de l’Allocation de Rentrée Scolaire (ARS), la gratuité
des fournitures scolaires…

Si vous souhaitez nous aider ou participer à notre enquête merci de nous contacter au :

Tél : 09 86 54 35 45
Mail : udcsf41@la-csf.org

 

La CSF 41

Image d’illustration : www.canva.com

Ce samedi 13 avril, la Confédération Syndicale des Familles du Loir et Cher organise son assemblée générale 2024 !

À partir de 9h15 vous serez les bienvenus au 33 rue Roland Garros à Blois pour venir assister à cette assemblée générale qui sera également un moment de partage et de convivialité dans notre local !

Alors à samedi !

 

La CSF 41

Image d’illustration : www.canva.com

En février 2024, une loi socialiste sur le congé menstruel a été rejeté au Sénat, mais une nouvelle initiative a été
lancée par le député écologiste de Dordogne, Sébastien Peytavie.

Le 27 mars 2024, une proposition de loi sur le congé menstruel en cas de « menstruations incapacitantes » a été
présentée en commission des affaires sociales à l’Assemblée Nationale, mais elle a été rejetée par la majorité (16
voix contre 16).

Le congé menstruel est un arrêt de travail accordé à une femme pour motif de menstruations incapacitantes. Cela
lui permet de suspendre son activité professionnelle pendant un certain temps lorsque ses menstruations
l’empêchent d’exercer correctement son travail. Le texte prévoyait 13 jours d’arrêt par an avec certificat médical
pour les femmes aux règles très douloureuses. Il prévoyait également que les entreprises permettent le télétravail
pendant cette période menstruelle, et également d’ouvrir les négociations pour aménager poste et temps de
travail.

Le 4 avril 2024, le texte sera réexaminé en séance plénière à l’Assemblée Nationale.

La Confédération Syndicale des Familles, rappelle qu’une femme sur 10 en France est touchée par l’endométriose,
une maladie gynécologique qui se caractérise par la présence anormale, dans la cavité abdominale, de tissu
endométrial. Elle entraine une douleur aiguë dans le bassin, et des douleurs pelviennes plus importantes au
moment des règles.

La mise en place d’un congé menstruel serait une reconnaissance de la souffrance de certaines femmes pendant
leurs règles, mais aussi une reconnaissance de cette maladie, qui touche, entre 1,5 et 2,5 millions de femmes en
âge de procréer en France !

 

Communiqué de presse / Avis de La CSF sur le congé menstruel

8 mars : Journée internationale de la lutte pour les droits des femmes
La CSF appelle à la mobilisation !

Issue de l’histoire des luttes féministes menées sur les continents européen et américain, la journée du 8
mars célèbre les luttes pour les droits des femmes et pour l’égalité entre hommes et femmes.

Nous ne comptons plus et nous ne voulons plus compter, car nous voulons que la société change.
Ces situations ne sont pas des cas isolés, c’est un problème social et sociétal pour lequel l’Etat doit mettre
en place des mesures à la hauteur des urgences et des besoins actuels et y mettre les moyens nécessaires !

En tant que force de progrès, La CSF s’est toujours tenue du côté des femmes pour soutenir l’évolution de
leurs droits (droit à la pilule, à la liberté sexuelle, à l’IVG, à l’autonomie corporelle et économique, à
l’égalité salariale etc). Aujourd’hui et demain, elle continuera à œuvrer pour une société juste et c’est
d’ailleurs pourquoi La CSF appelle à la mobilisation le 8 mars 2024 !

Mobilisons-nous, allons manifester faisons grève, menons des actions partout sur le territoire pour que
notre voix résonne : une voix féministe revendiquant qu’une seule voie est possible : le chemin de
l’égalité et de l’émancipation de tous.tes ! Comme le disait Simone de Beauvoir « La femme n’est victime
d’aucune mystérieuse fatalité : il ne faut pas conclure que ses ovaires la condamnent à vivre à genoux. »

 

Communiqué de presse / Journée internationale de la lutte pour les droits des femmes

Mise en pause du plan Ecophyto : Un retour en arrière pour la santé des familles

La Confédération Syndicale des Familles (CSF) exprime son profond mécontentement face à la décision du
gouvernement de mettre en pause le plan Ecophyto et de modifier l’indicateur de mesure de la réduction de
l’utilisation des pesticides. Cette décision aura des conséquences désastreuses pour les consommateurs et aussi
les agriculteurs eux-mêmes.

Pour rappel, le plan Ecophyto avait pour objectif de diminuer de moitié l’utilisation des produits phytosanitaires
(pesticides, herbicides, fongicides) en France d’ici 2030 par rapport à la période 2015-2017, dans le but de
préserver la santé publique et l’environnement.

En effet, la substitution de l’indicateur de mesure d’utilisation des produits phytosanitaires du NODU par son
homologue européen “indicateur de risque harmonisé” (HRI1) compromet gravement les objectifs initiaux du
plan.

L’indicateur HRI1, critiqué par de nombreuses organisations dont Générations Futures, est non seulement
ambigu dans sa méthodologie mais aussi biaisé dans son application. En pondérant les quantités de pesticides
utilisées par un coefficient de dangerosité, il crée une illusion de réduction de l’utilisation des pesticides,
masquant ainsi la réalité de leur impact sur l’environnement et la santé publique.

La CSF appelle donc le gouvernement à reconsidérer sa décision et à réaffirmer son engagement en faveur d’une
réduction effective de l’utilisation des pesticides en France. Les consommateurs, les familles et les agriculteurs
méritent une politique agricole ambitieuse et responsable, à la hauteur des enjeux environnementaux et de
santé publique auxquels nous sommes confrontés.

Pour mieux comprendre l’enjeu autour du changement d’indicateur de mesure, voici le lien d’une vidéo très
pédagogique de Générations Futures : https://www.youtube.com/watch?v=-2a2nhHrYyk

Communiqué de presse / Mise en pause du plan Ecophyto

Annonce du nouveau Ministre du logement : une inquiétude légitime

La CSF accueille avec la plus grande réserve la nomination du nouveau Ministre du Logement Monsieur
Guillaume KASBARIAN, député Renaissance d’Eure-et-Loir qui s’est fait connaître par une loi contre les
squatteurs et les locataires expulsés.

Pour mémoire, La CSF avait exprimé son profond désaccord lors de l’adoption de cette loi qui s’attaque
aux victimes du mal logement et non à sa cause.

En effet, en raccourcissant les délais d’instruction des dossiers permettant la prévention des expulsions,
et en limitant les moyens de maintien dans les lieux, ce texte de loi criminalise la pauvreté et renforce la
précarité.

Nous appelons de nos vœux à ce que la future politique du logement du Ministre puisse à l’avenir
répondre davantage aux besoins des familles qu’aux besoins des spéculateurs.

La CSF revendique l’application de la loi SRU, le gel des loyers, la suppression de la RLS, des moyens pour
la rénovation énergétique du parc social et privé, ainsi qu’un budget à hauteur de besoin pour la
production de logements abordables.

Communiqué de presse / nomination du M. Kasbarian au poste de Ministre du logement

Bonjour à toutes et à tous, l’événement « chandeleur » de la CSF 41 qui a eu lieu vendredi dernier à Vendôme a été un succès !

Vous étiez nombreux à venir pour partager un moment convivial avec nos bénévoles lors de cette permanence.

Pour nous rencontrer et pour rester informer des prochains évènements nous vous attendons à nos permanences :

-tous les vendredis de 16h15 à 18h00 à Vendôme !

-tous les premiers et troisièmes jeudis du mois à Romorantin de 9h30 à 12h00

-du lundi au vendredi à Blois

Dans l’attente de vous rencontrer !
La CSF 41 😊

Bonjour à tous,

La Confédération Syndicale des Familles du 41 vous informe que les ateliers créatifs reprennent dès ce mercredi 7 février de 14h à 17h dans notre espace convivialité au 33 rue Roland Garros 41000 Blois.
Nous vous attendons nombreux !

Pour plus d’informations :
Mail : udcsf41@la-csf.org
Téléphone : 09.86.54.35.45 // 06.61.56.42.86

Cordialement,
La CSF 41

 

Monsieur le Premier Ministre, les familles ont besoin de logements à loyers
accessibles !

La première déclaration de Gabriel Attal en matière de logement était très attendue. En effet, le secteur
du logement espérait des solutions concrètes pour répondre à la grave crise du logement actuelle. 2,7
millions de demandeurs de logements sociaux sont en attente et les logements disponibles à la location
dans le parc privé se réduisent comme peaux de chagrin.

Or, les solutions avancées consistent à déconstruire les objectifs de la loi SRU en introduisant la possibilité
pour les Maires de produire du « logement intermédiaire » pour se trouver en conformité avec la loi.

La CSF rappelle que les loyers des logements intermédiaires sont en grande majorité totalement
inaccessibles aux familles populaires. Ces logements ont du mal à rencontrer leur public notamment
quand ils sont situés en dehors des zones attractives des grandes métropoles. Ils représentent l’assurance
pour les collectivités riches de garantir un entre soi qui mine le pacte républicain. Quelle aubaine pour les
Maires défaillants qui refusaient jusqu’ici d’assumer leurs missions en matière de production de
logements sociaux : pouvoir prétendre faire de la mixité sociale sans reloger de pauvres !

Sur la question des attributions, il est proposé que les collectivités aient la main pour les premières
attributions dans le parc social neuf. Encore une fois, on offre la possibilité aux Maires d’assumer une
politique clientéliste à rebours des objectifs de mixité sociale. Les familles ont besoin d’égalité et de
transparence dans l’attribution des logements sociaux.

Enfin, le Premier ministre Gabriel Attal propose l’allongement de la durée des prêts pour permettre aux
bailleurs sociaux de faire face à l’augmentation des prix du foncier. Ces emprunts doivent être
remboursés et donc ne constituent pas une aide comparable aux aides à la pierre (c’est-à-dire une
subvention) qui avaient permis l’essor du logement social en France. Il est évident qu’en ne donnant pas
les moyens financiers aux bailleurs de construire du logement à loyer bas, et en proposant au même
moment, la possibilité aux Maires de produire du logement cher, l’avenir des familles en matière de
logement s’annonce toujours plus sombre.

Communiqué de presse / Annonce logement premier ministre Attal