Bonjour à toutes et à tous nous vous informons que la CSF 41 organise une bourse aux vêtements ce week-end,

le samedi 30 et dimanche 31 mars de 9h00 à 17h30 !

Elle est ouverte à tous ! Donc n’hésitez surtout pas à venir car tout doit disparaître ! La bourse aura lieu au 33 rue Roland Garros à Blois.

 

 

La CSF 41

Image d’illustration : www.canva.com

8 mars : Journée internationale de la lutte pour les droits des femmes
La CSF appelle à la mobilisation !

Issue de l’histoire des luttes féministes menées sur les continents européen et américain, la journée du 8
mars célèbre les luttes pour les droits des femmes et pour l’égalité entre hommes et femmes.

Nous ne comptons plus et nous ne voulons plus compter, car nous voulons que la société change.
Ces situations ne sont pas des cas isolés, c’est un problème social et sociétal pour lequel l’Etat doit mettre
en place des mesures à la hauteur des urgences et des besoins actuels et y mettre les moyens nécessaires !

En tant que force de progrès, La CSF s’est toujours tenue du côté des femmes pour soutenir l’évolution de
leurs droits (droit à la pilule, à la liberté sexuelle, à l’IVG, à l’autonomie corporelle et économique, à
l’égalité salariale etc). Aujourd’hui et demain, elle continuera à œuvrer pour une société juste et c’est
d’ailleurs pourquoi La CSF appelle à la mobilisation le 8 mars 2024 !

Mobilisons-nous, allons manifester faisons grève, menons des actions partout sur le territoire pour que
notre voix résonne : une voix féministe revendiquant qu’une seule voie est possible : le chemin de
l’égalité et de l’émancipation de tous.tes ! Comme le disait Simone de Beauvoir « La femme n’est victime
d’aucune mystérieuse fatalité : il ne faut pas conclure que ses ovaires la condamnent à vivre à genoux. »

 

Communiqué de presse / Journée internationale de la lutte pour les droits des femmes

Mise en pause du plan Ecophyto : Un retour en arrière pour la santé des familles

La Confédération Syndicale des Familles (CSF) exprime son profond mécontentement face à la décision du
gouvernement de mettre en pause le plan Ecophyto et de modifier l’indicateur de mesure de la réduction de
l’utilisation des pesticides. Cette décision aura des conséquences désastreuses pour les consommateurs et aussi
les agriculteurs eux-mêmes.

Pour rappel, le plan Ecophyto avait pour objectif de diminuer de moitié l’utilisation des produits phytosanitaires
(pesticides, herbicides, fongicides) en France d’ici 2030 par rapport à la période 2015-2017, dans le but de
préserver la santé publique et l’environnement.

En effet, la substitution de l’indicateur de mesure d’utilisation des produits phytosanitaires du NODU par son
homologue européen “indicateur de risque harmonisé” (HRI1) compromet gravement les objectifs initiaux du
plan.

L’indicateur HRI1, critiqué par de nombreuses organisations dont Générations Futures, est non seulement
ambigu dans sa méthodologie mais aussi biaisé dans son application. En pondérant les quantités de pesticides
utilisées par un coefficient de dangerosité, il crée une illusion de réduction de l’utilisation des pesticides,
masquant ainsi la réalité de leur impact sur l’environnement et la santé publique.

La CSF appelle donc le gouvernement à reconsidérer sa décision et à réaffirmer son engagement en faveur d’une
réduction effective de l’utilisation des pesticides en France. Les consommateurs, les familles et les agriculteurs
méritent une politique agricole ambitieuse et responsable, à la hauteur des enjeux environnementaux et de
santé publique auxquels nous sommes confrontés.

Pour mieux comprendre l’enjeu autour du changement d’indicateur de mesure, voici le lien d’une vidéo très
pédagogique de Générations Futures : https://www.youtube.com/watch?v=-2a2nhHrYyk

Communiqué de presse / Mise en pause du plan Ecophyto

Annonce du nouveau Ministre du logement : une inquiétude légitime

La CSF accueille avec la plus grande réserve la nomination du nouveau Ministre du Logement Monsieur
Guillaume KASBARIAN, député Renaissance d’Eure-et-Loir qui s’est fait connaître par une loi contre les
squatteurs et les locataires expulsés.

Pour mémoire, La CSF avait exprimé son profond désaccord lors de l’adoption de cette loi qui s’attaque
aux victimes du mal logement et non à sa cause.

En effet, en raccourcissant les délais d’instruction des dossiers permettant la prévention des expulsions,
et en limitant les moyens de maintien dans les lieux, ce texte de loi criminalise la pauvreté et renforce la
précarité.

Nous appelons de nos vœux à ce que la future politique du logement du Ministre puisse à l’avenir
répondre davantage aux besoins des familles qu’aux besoins des spéculateurs.

La CSF revendique l’application de la loi SRU, le gel des loyers, la suppression de la RLS, des moyens pour
la rénovation énergétique du parc social et privé, ainsi qu’un budget à hauteur de besoin pour la
production de logements abordables.

Communiqué de presse / nomination du M. Kasbarian au poste de Ministre du logement

Bonjour à toutes et à tous, l’événement « chandeleur » de la CSF 41 qui a eu lieu vendredi dernier à Vendôme a été un succès !

Vous étiez nombreux à venir pour partager un moment convivial avec nos bénévoles lors de cette permanence.

Pour nous rencontrer et pour rester informer des prochains évènements nous vous attendons à nos permanences :

-tous les vendredis de 16h15 à 18h00 à Vendôme !

-tous les premiers et troisièmes jeudis du mois à Romorantin de 9h30 à 12h00

-du lundi au vendredi à Blois

Dans l’attente de vous rencontrer !
La CSF 41 😊

Bonjour à tous,

La Confédération Syndicale des Familles du 41 vous informe que les ateliers créatifs reprennent dès ce mercredi 7 février de 14h à 17h dans notre espace convivialité au 33 rue Roland Garros 41000 Blois.
Nous vous attendons nombreux !

Pour plus d’informations :
Mail : udcsf41@la-csf.org
Téléphone : 09.86.54.35.45 // 06.61.56.42.86

Cordialement,
La CSF 41

 

Monsieur le Premier Ministre, les familles ont besoin de logements à loyers
accessibles !

La première déclaration de Gabriel Attal en matière de logement était très attendue. En effet, le secteur
du logement espérait des solutions concrètes pour répondre à la grave crise du logement actuelle. 2,7
millions de demandeurs de logements sociaux sont en attente et les logements disponibles à la location
dans le parc privé se réduisent comme peaux de chagrin.

Or, les solutions avancées consistent à déconstruire les objectifs de la loi SRU en introduisant la possibilité
pour les Maires de produire du « logement intermédiaire » pour se trouver en conformité avec la loi.

La CSF rappelle que les loyers des logements intermédiaires sont en grande majorité totalement
inaccessibles aux familles populaires. Ces logements ont du mal à rencontrer leur public notamment
quand ils sont situés en dehors des zones attractives des grandes métropoles. Ils représentent l’assurance
pour les collectivités riches de garantir un entre soi qui mine le pacte républicain. Quelle aubaine pour les
Maires défaillants qui refusaient jusqu’ici d’assumer leurs missions en matière de production de
logements sociaux : pouvoir prétendre faire de la mixité sociale sans reloger de pauvres !

Sur la question des attributions, il est proposé que les collectivités aient la main pour les premières
attributions dans le parc social neuf. Encore une fois, on offre la possibilité aux Maires d’assumer une
politique clientéliste à rebours des objectifs de mixité sociale. Les familles ont besoin d’égalité et de
transparence dans l’attribution des logements sociaux.

Enfin, le Premier ministre Gabriel Attal propose l’allongement de la durée des prêts pour permettre aux
bailleurs sociaux de faire face à l’augmentation des prix du foncier. Ces emprunts doivent être
remboursés et donc ne constituent pas une aide comparable aux aides à la pierre (c’est-à-dire une
subvention) qui avaient permis l’essor du logement social en France. Il est évident qu’en ne donnant pas
les moyens financiers aux bailleurs de construire du logement à loyer bas, et en proposant au même
moment, la possibilité aux Maires de produire du logement cher, l’avenir des familles en matière de
logement s’annonce toujours plus sombre.

Communiqué de presse / Annonce logement premier ministre Attal

La CSF dénonce le doublement des franchises médicales !

Dans un récent communiqué, le Président de la République a annoncé le doublement des franchises
médicales soit une augmentation conséquente du reste à charge pour les patients.
Fin du mois de mars, ces nouvelles franchises entreront en vigueur, sur les boîtes de médicaments et
les actes paramédicaux, qui passeront de 50 centimes à 1 €, et sur les transports sanitaires, qui
passeront de 2 à 4€. En juin, aura lieu le doublement du montant des participations forfaitaires
appliquées aux actes et consultations réalisées par un médecin et les examens et analyses de biologie
médicale, qui passera de 1 à 2€. Le doublement de ces franchises et des participations forfaitaires ne
seront pas applicables aux mineurs, aux femmes enceintes bénéficiaires de l’assurance maladie, ainsi
qu’aux bénéficiaires de la complémentaire santé solidaire.

Par ailleurs, le gouvernement déclare que « le plafond annuel fixé à 50 euros est maintenu afin de
protéger celles et ceux affectés par une pathologie lourde, et notamment les personnes atteintes
d’une affection de longue durée ». Précisons qu’il existe deux plafonds de 50€ chacun, le premier pour
l’achat de médicaments, les actes paramédicaux et les transports sanitaires, et le deuxième pour les
consultations médicales et actes biologiques, soit un total de 100€, et non de 50€ ! Une somme
importante pour les malades en affection longue durée, surtout qu’ils sont déjà surreprésentés dans
les couches sociales les plus modestes !

La Confédération Syndicale des Familles, en tant qu’association agréée d’usagers du système de santé,
dénonce la hausse des franchises et des participations forfaitaires.

Aujourd’hui, nombreux usagers se retrouvent déjà confrontés à des difficultés financières liées au
contexte inflationniste : augmentation de l’électricité, du gaz, des courses, sans compter, les tarifs des
mutuelles santé qui flambent en 2024. (+8,1% en moyenne en 2024 selon la mutualité française et 10%
selon UFC Que choisir avec des pics chez certaines pouvant atteindre les 20% !). Ajouter à ces
dépenses, une hausse des franchises et des participations forfaitaires, est une aberration ! C’est
précariser davantage les usagers !

Rappelons que l’une des causes du renoncement aux soins est le manque d’argent. A travers cette
mesure, le gouvernement éloigne encore un peu plus, le système de santé de l’usager !

 

Communiqué de presse / La CSF dénonce le doublement des franchises médicales

Augmentation des tarifs de l’électricité :
Une décision injustifiée et préjudiciable pour les ménages

La Confédération Syndicale des Familles (CSF) exprime son vif mécontentement à l’annonce de la
nouvelle augmentation des tarifs de l’électricité, faite par Bruno Le Maire, ministre de l’Économie.

Alors que le coût du tarif réglementé de vente d’électricité (TRVE) a déjà connu une hausse dépassant
les 30 % au cours des deux dernières années, il est consternant d’apprendre que les factures
d’électricité des particuliers connaîtront une hausse supplémentaire de 8,6 % pour les tarifs de base et
de 9,8 % pour les tarifs heures pleines / heures creuses, dès le début du mois de février 2024.

Cette augmentation est la conséquence du retour d’une taxe sur le coût de l’électricité, suspendue
depuis deux ans en raison de la flambée des prix de l’énergie. La CSF condamne cette décision, d’autant
plus que la Commission de régulation de l’énergie (CRE) ne préconise pas de hausse des tarifs de
l’énergie. Au contraire, la CRE annonce une baisse du prix du Mégawattheure au 1er février 2024,
contredisant ainsi la logique de cette augmentation.

Cette mesure est particulièrement malvenue, surtout dans le contexte continu d’une inflation
persistante à laquelle les Français font face. Selon les dernières données de l’Observatoire national de la
précarité énergétique (ONPE), 26 % des Français déclarent avoir eu froid durant l’hiver 2022 / 2023
(dont 42 % d’entre eux pour des raisons financières). De nombreux ménages ont déjà du mal à faire face
aux dépenses énergétiques, avec des conséquences directes sur le pouvoir d’achat et la précarité
énergétique.

Cette augmentation va également à l’encontre des engagements affichés du gouvernement, tant en
termes de pression fiscale sur les classes moyennes et populaires que de transition écologique. En effet,
la transition énergétique, axée sur l’électrification des usages, risque d’être mal perçue par les familles
en raison de l’augmentation des prix de l’électricité.

La CSF s’inquiète de cette décision et demande au gouvernement de renoncer à ce projet
d’augmentation tarifaire, soulignant son caractère antisocial et contraire aux impératifs écologiques.

 

Communiqué de presse / Augmentation des tarifs de l’électricité

Création du congé de naissance :
La CSF dénonce la réduction de la durée du congé parental !

Le 16 Janvier 2024, le Président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé la création
d’un congé de naissance, remplaçant le congé parental actuel. Ce nouveau congé devrait être
mieux rémunéré, mais aussi plus court.

Actuellement, le congé parental, utilisé après le congé maternité ou paternité, est d’une durée
d’un an, renouvelable deux fois. Celui-ci permet aux parents qui le souhaitent de réduire ou
cesser leur activité professionnelle après la naissance d’un enfant.

La CSF dénonce la réduction de 3 ans maximum à 6 mois du congé parental, contraignante
et insuffisante pour les familles.

Cette réduction ne s’attaque pas aux problèmes fondamentaux liés à l’enfance et aux choix
des modes de garde :

• Les parents rencontrent toujours autant de difficultés pour avoir recours à un mode de
garde qui a un coût conséquent. Selon l’enquête menée par l’Observatoire des familles
de l’Unaf en 2022, 38% des parents de jeunes enfants ne travaillant pas à plein
temps le font d’abord parce qu’ils voulaient éviter des frais de garde trop chers.
• La liberté de choix des parents est remise en question alors qu’elle devrait être
soutenue dans l’intérêt de l’enfant. Rappelons que ce sont eux, les premiers
éducateurs.
• Différentes études, dont le rapport des 1000 premiers jours de l’enfant, témoignent
du bénéfice pour le bébé de la présence régulière des deux parents. Le gouvernement
ne prend pas en compte les recommandations d’une commission d’experts qui l’a créé.

C’est pourquoi, La CSF demande :
– Un congé parental mieux rémunéré qui réponde au maintien du niveau de vie de
la famille avant la naissance.
– Des modes de garde de qualité et accessibles financièrement et
géographiquement à toutes les familles.
– Une amélioration significative du soutien à la parentalité et à l’accompagnement
des familles dans leurs choix parentaux.

 

Communiqué de presse / La CSF dénonce le projet de réduction du congé parental